mercredi 21 novembre 2012

CRITIQUE DU LIVRE VERTIGES MORTELS DE NEAL BAER ET JONATHAN GREEN

Claire Waters est une jeune psychiatre spécialisée en médecine légale, passionnée par son métier. Hantée par un événement traumatisant de son enfance - le kidnapping de sa meilleure amie devant ses yeux à l'âge de huit ans - Claire a toujours été attirée par les patients dits incurables, ceux qui semblent n'avoir ni conscience ni peur. Elle accepte de rejoindre le programme mis en place par le célèbre docteur Paul Curtin au centre pénitencier de Rikers Island, l'une des plus grandes institutions psychiatriques des États-Unis. Dès son premier jour, et comme pour tester ses capacités, le docteur Curtin lui demande d'interroger un certain Todd Quimby afin de déterminer s'il est apte à retourner à la vie civile. Détenu à l'esprit dérangé, dont le beau visage enfantin dissimule une histoire sordide de dysfonctionnement et de mauvais traitements, Quimby réveille chez Claire quelque chose qu'elle préférerait ne pas affronter. Elle donne alors un peu trop rapidement un avis favorable à la sortie de Quimby. Quelques nuits plus tard, l'homme l'appelle chez elle en lui expliquant que ses pulsions le reprennent. Le lendemain matin, Claire apprend qu'une jeune prostituée blonde a été retrouvée morte à Times Square, étranglée avec une corde et les yeux brûlés à l'acide.
Elle se rend aussitôt au commissariat pour raconter ce qu'elle sait et se retrouve devant l'inspecteur Nick Lawler. Tout d'abord soupçonneux à l'égard de la jeune femme, il comprend vite que les informations qu'elle vient lui apporter sont sûrement d'une importance capitale. Une course contre la montre s'engage alors contre Todd Quimby...
CRITIQUE:
On rentre tout de suite dans ce thriller qui démarre de la première à la dernière page sans ambages et direct dans un style vif et percutant qui ne laisse aucun répit pour le lecteur…
On a l’impression de suivre une série car le livre se décompose en plusieurs parties avec moult rebondissements qu’on ne voit pas venir qui sillonnent tout au long du roman…

vendredi 16 novembre 2012

LE MANUEL DU SERIAL KILLER DE FREDERIC MARS AUX EDITIONS BLACK MOON

Thomas Harris, 21 ans, est étudiant en lettres à Harvard. Grand amateur de littérature policière, il se retrouve momentanément mêlé à une enquête en cours, portant sur une série de meurtres, dont les victimes sont toutes des enfants. C'est aussi à cette période que le jeune homme commence un stage au service des manuscrits d’une maison d'édition spécialisée dans les romans de gare et le thriller. Chargé du tri au service des manuscrits, il y fait la lecture du Manuel du serial killer, soumis de façon totalement anonyme, et qui ne propose rien moins qu’un mode d'emploi détaillé du tueur parfait ! Entre horreur et fascination, Tom choisit de rejeter le texte. Quelle n’est donc pas sa stupéfaction lorsque, quelques semaines plus tard, il découvre ce livre en vitrine de toutes les librairies… et publié sous son propre nom, Thomas Harris ! Commence alors une véritable descente en enfer, à la limite de l'absurde : ce livre dont on lui impute la paternité et dont les réimpressions s'enchainent à un rythme hallucinant, fournit tous les détails des meurtres qui ne cessent d'ensanglanter la région. Et chaque tentative pour prouver à la police, à la justice, mais aussi à ses proches et à lui-même, qu'il est innocent, rapproche Thomas Harris de la cellule où croupit un redoutable prédécesseur, qui avait terrorisé le pays avec des crimes comparables, dix ans plus tôt. Qui est réellement le coupable, qui est l'auteur ? Et qui est Thomas Harris ?

CRITIQUE:
Après « NON STOP » Frédéric Mars nous démontre une autre facette de son talent avec ce thriller psychologique de très haut niveau!!!

On suit les aventures de Thomas Harris, un homme timide va se retrouver célèbre du jour au lendemain avec un roman « LE MANUEL DU SERIAL KILLER » on se pose beaucoup de question ou subsiste le doute quand a la véracité de ce jeune « Prodige »

En Conclusion: UN THRILLER PSYCHOLOGIQUE A NE PAS RATER!!!

A Bientôt

Jérôme.