mercredi 21 août 2013

HOMELAND LA TRAQUE DE ANDREW KAPLAN AUX EDITIONS DU SEUIL

Beyrouth 2006. Carrie Mathison, agent de la CIA, se rend à un RV avec un contact dont le nom de code est Nightingale. Mais c’est un piège dont elle réchappe de justesse. Elle en déduit qu’on a infiltré le QG de la CIA. Elle s’en ouvre à son supérieur, ce qui provoque un conflit violent ; Carrie est aussitôt renvoyée à Langley. Carrie est incroyablement douée, et très fragile aussi. Elle souffre de troubles bi-polaires qui l’handicapent mais lui permettent aussi de reconnaître et d’anticiper des schémas comportementaux bien particuliers. Bien sûr, elle cache ses troubles pour protéger sa carrière.
Carrie se persuade qu’un complot se trame et veut retourner à Beyrouth à tout prix. Elle demande de l’aide à Saul Berenson, son boss, son mentor, son confident, celui qui l’a recrutée quand elle était à Princeton. Mais le chef du contre-terrorisme, David Estes, un homme habile et très politique, rejette sa demande. Carrie est hors d’elle et n’a plus de temps alors elle risque le tout pour le tout et commet un acte d’insubordination qui lui permet de découvrir une preuve qui relie Nightingale à Abu Nazir, le chef d’Al-Qaïda en Irak. Elle devient obsédée par Abu Nazir et s’embarque dans une poursuite qui va pratiquement la détruire.